samedi 4 avril 2015

"Le cas Eduard Einstein" de Laurent Seksik







Synopsis

Le fils d'Einstein a fini parmi les fous, délaissé de tous, jardinier de l'hôpital psychiatrique de Zurich. Sa mère, qui l'a élevé seule après son divorce, le conduit à la clinique Burghölzli à l'âge de vingt ans. La voix du fils oublié résonne dans ce roman où s'entremêlent le drame d'une mère, les faiblesses d'un génie, le journal d'un dément.

Une question hante ce texte : Eduard a-t-il été abandonné par son père à son terrible sort ? Laurent Seksik dévoile ce drame de l'intime, sur fond de tragédie du siècle et d'épopée d'un géant.


Quelques mots sur l’auteur

Écrivain journaliste, écrivain médecin (radiologue), ancien chroniqueur littéraire et écrivain scénariste pour l’adaptation au cinéma de son roman « La folle histoire » (Prix Littré 2005 du meilleur médecin-écrivain de l'année) par Pascal Elbé, Laurent Seksik essaie toujours de se renouveler.
Il est journaliste pour l'Express Livres. Il animait "Postface", l'émission littéraire hebdomadaire de la chaîne 'information en continu I>Télé jusqu'en septembre 2006.
Depuis 2004, il était également chroniqueur littéraire pour l'émission La Matinale, diffusée sur Canal+.
Depuis 2006, Laurent Seksik se partage entre médecine et littérature.
En 2006 paraît son troisième roman La Consultation (J-C Lattès, Pockett), puis, en 2008, une biographie d’Albert Einstein (Gallimard Folio).
En 2010, Laurent Seksik publie un roman relatant les 6 derniers mois de la vie de Stefan Zweig avant son suicide. "Les derniers jours de Stefan Zweig", vendu à plus de 50 000 exemplaires et traduit en sept langues. L'auteur en écrit l'adaptation théâtrale. Celle-ci sera montée au théâtre Montparnasse, en septembre 2012, mise en scène de Gérard Gélas.
Laurent Seksik publie son cinquième roman, chez Flammarion, en septembre 2011 "La Légendedes fils".

Son premier roman, Les mauvaises pensées, (Prix Wizo 2000) a été traduit dans plusieurs langues.


Mon avis

C’est un livre sur Eduard, le fils d’Albert Einstein, qui souffrait de schizophrénie. C’est raconté à la fois par la mère, le père et Eduard lui-même. Les 3 points de vue s’alternent tout le long du roman.

C’est une histoire intéressante et très touchante sur la maladie mentale, la relation père-fils et mère-fils. J’ai été très troublée sur comment la maladie mentale était traitée dans les années 30 (par exemple, par électrochocs). En effet, Albert ne croyait pas en la psychanalyse de Freud.
Le livre est composé de différents chapitres avec des intitulés décrivant les divers lieux. Il y a aussi des annexes et une bibliographie.

J’ai donc vraiment bien aimé ce livre ! Ce roman m’a donné envie de lire la biographie d’Albert Einstein écrit par le même auteur Laurent Seksik.

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